VONNEGUT POO TEE WEET PLUS

1 The real-life Vonnegut was a young American GI captured by the Germans he had the misfortune to be brought to Dresden shortly before its destruction, as well as the bizarre good luck to survive because he and some other prisoners had been herded into an underground slaughterhouse meat locker, Schlachthof Fünf, the source of the novel’s title. Later h (.)ģ Slaughterhouse-Five is usually interpreted, reasonably enough, as a metafictional meditation on time and human violence by a writer trying to come to grips with his war experience. 2 Vonnegut’s narrator, citing David Irving, refers to 135,000 dead in the bombing of Dresden.1 The merits of a metafictional approach to history stirred debate from the time of the book’s releas (.).

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Cette perception peut entraîner le risque de se complaire dans la pastorale sentimentale, mais peut aussi être constitutive d’un « mode d’écoute dialogique » et déboucher sur une appréciation plus nuancée de la place de notre espèce dans la nature. La nature a, dans ce cas, non seulement quelque chose à nous dire mais, de façon séduisante, elle parle notre langue et nous dit quelque chose que nous voulons entendre.

L’article montrera que le « son pastoral » se présente souvent comme une sous-catégorie de la personnification. S’il existe un locus amoenus aural, quelles sont les modalités de son encodage ? En s’appuyant, entre autres, sur des œuvres de Kurt Vonnegut, William Blake et Allan Ginsberg, cet article souligne la distinction élémentaire mais cruciale entre le son et le sens, et la capacité de la représentation du son à suggérer des significations pastorales. Il ne s’agit pas, en effet, de réduire le sujet à une approche thématique en considérant un échantillon de sons associés à la vie pastorale, mais de s’interroger sur ce qui constitue un « son pastoral ». Envisager l’existence de sons pastoraux dans la littérature soulève des problèmes spécifiques.

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